octobre 1, 2025
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La liberté de la presse et la liberté d’expression continuent d’être mises à mal aux États-Unis, tandis que le président Donald Trump et ses acolytes cherchent à étouffer les critiques.
Interrogé sur les conflits d’intérêts familiaux de la famille Trump, le président a répondu que ces questions délicates nuisaient « très » à l’Australie, car son gouvernement souhaite rester en bons termes avec lui.
Le Pentagone a informé les journalistes qu’ils devaient s’engager à ne pas divulguer d’informations sensibles, faute de quoi ils n’auraient pas accès aux points de presse.
Après l’assassinat de Charlie Kirk et la suspension de Jimmy Kimmel, Trump a suggéré que la Commission fédérale des communications (FCC) révoque les licences des diffuseurs diffusant des informations négatives ou critiques à son égard.
Le président a poursuivi le New York Times et le Wall Street Journal en justice pour leur couverture médiatique. Un juge a rejeté la plainte du Times, critiquant une déclaration trop longue et ornée, mais a invité les avocats du président à déposer une nouvelle plainte.
Les attaques de Trump contre la presse ne sont pas propres à l’Amérique. Elles offrent aux populistes d’ici un modèle pour discréditer le journalisme factuel et promouvoir des médias d’information idéologiques.
La Dépêche
octobre 1, 2025
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